Paris en Fête


Affiche de l'exposition Paris en Fête. Raoul Dufy, Paris et la tour Eiffel, 1936. Collection privée. Photo: Musée d’art, Pully.

L’ exposition présente les différents aspects festifs de la capitale française entre les années 1890 et 1950. L’exposition souligne cette réputation de Paris. Les œuvres illustrent des différents thèmes: le monde des cabarets, la mode, les loisirs et la littérature. Les œuvres sont dues à des artistes dont la réputation n’est plus à faire comme Henri de Toulouse-Lautrec, Félix Vallotton, Marc Chagall, Henri Matisse, Raoul Dufy, ainsi que Kees van Dongen (y compris ses illustrations originales pour une réimpression du livre A la recherche du temps perdu de Marcel Proust (Gallimard, 1947). Raoul Dufy est l’auteur de la pièce la plus imposante de l’exposition, une reproduction en lithographie de la Fée Electricité, une peinture murale (aujourd’hui conservée au Musée d’art moderne de la Ville de Paris) réalisée pour orner le Pavillon de l’électricité et de la lumière de l’Exposition universelle parisienne de 1937. Cette œuvre monumentale représente les plus grands scientifiques de l’histoire, réunis de part et d’autre des dieux de l’Antiquité gréco-romaine, dont la messagère est la Fée Electricité.

L’eau


L’eau est un élément essentiel pour la planète, sa flore et sa faune, y compris pour l’humanité. Mais que savons-nous réellement de l’eau ? L’exposition s’articule en trois thématiques: eau et vie, eau et hommes et eau et société. De plus, elle est agrémentée par quelques éléments sur l’eau dans le Jura et en Suisse. L’exposition présente le parcours l’eau : de sa naissance cosmique, son développement sur terre, son omniprésence, l’évolution de la vie et de la nécessité de la maintien préserver.

 

Le jardin et l’art


Marlene McCarty, Into the Weeds, Kunsthaus Baselland. Photo: Gina Folly

Avec des matériaux de tous les jours, Marlene McCarty (1957) fait de l’art sur des thèmes sociaux controversés, allant de l’inégalité sociale et sexuelle au rôle des femmes. D’outre les œuvres des dernières années, l’exposition (Into the Weeds) présentera également un nouveau projet en collaboration avec le Merian Gärten (les jardins de Merian), un institut de la Christoph Merian Stiftung (Fondation Christoph Merian) à Bâle. Au premier coup d’œil, le jardin à l’entrée du Kunsthaus semble familier et accueillant. Cependant, l’interaction entre l’homme (la femme) et la nature est le thème centrale Ce jardin rassemble des plantes qui, selon l’artiste et ses recherches historiques, représentent l’émancipation, le pouvoir et le savoir des femmes. Une équipe des Merian Gardens a développé ce jardin.