(Deutsch) Geschichte in Basel


(Deutsch) Ferdinand Hodler (1853-1918), Die Sterbende Künstler. Kollektion: Kunstmuseum Basel. Foto: Kunstmuseum Basel, M. P. Bühler

Die Ausstellung richtet einen Blick auf die Sammlung des Museums, mit der Absicht auch weniger bekannte Aspekte der Bestände in neuen Zusammenhängen zu zeigen. Projektionsfläche und Hintergrund dieser Präsentation sind Ereignisse aus der Geschichte der Stadt Basel, die anhand der Bestände des Kunstmuseums reflektiert werden. Kunstgeschichte, die dem Kanon folgt, soll hier in den Hintergrund treten zugunsten einer freieren, assoziativen Gegenüberstellung von Kunstwerken und Dokumenten – basierend auf der reichen Ideen- und Alltagsgeschichte dieser Stadt bzw. den Geschichten von Personen, die mit Basel verbunden sind. Dafür ausgewählt wurden der Humanist Erasmus von Rotterdam, das Gemälde Der tote Christus im Grab von Hans Holbein d.J., die Zeichnerin und Forscherin Maria Sibylla Merian, der Historiker und Kunsthistoriker Jacob Burckhardt, der Philosoph Friedrich Nietzsche, der Basler Friedenskongress von 1912, die Eiskunstläufer Frick und Frack, der Erfinder des LSD Albert Hofmann und die Frauenrechtlerin Iris von Roten.

Un nouveau jour à Bâle


Maria Sibylla Merian (1647-1717), Metamorphosis insectorum surinamensium, 1705. Collection: Musée d´Art, Bâle.

L’exposition est consacrée à la collection du musée dans le but d’en présenter les aspects méconnus sous un nouveau jour. Des épisodes de l’histoire de Bâle sont mis en lumière et l’histoire de l’art associe librement des œuvres d’art et des documents à partir de plusieurs épisodes de l’histoire des idées et du quotidien de Bâle impliquant des personnalités liées à la ville. Ainsi, la présentation permet de rassembler l’humaniste Érasme, le tableau Le Christ mort au tombeau de Hans Holbein le Jeune, la dessinatrice et naturaliste Maria Sibylla Merian, l’historien et historien de l’art Jacob Burckhardt, le philosophe Friedrich Nietzsche, mais aussi le congrès de Bâle de 1912, les patineurs artistiques Frick et Frack, l’inventeur du LSD Albert Hofmann et la militante pour les droits des femmes Iris von Roten.

La peinture suisse de la première moitié du XXe siècle


Karl Felix Appenzeller (1892-1964), vue de la fenetre, 1922. Photo et collection Kunsthaus Aarau.

Toutes les œuvres d’art ne jouissent pas des mêmes privilèges pendant le voyage dans le temps qui les conduit de l’époque de leur création à aujourd’hui. L’exposition offre à ces œuvres l’occasion de surgir de l’oubli. Elle poursuit l’entreprise commencée en 2013 avec l’exposition « Réserves latentes » et se focalise comme elle sur l’inventivité et la diversité de sujet et de style qu’affiche la peinture suisse de la première moitié du XXe siècle. Les œuvres proviennent des collections de l’Aargauer Kunsthaus et de Peter Suter.